Pour faire du site un pôle de référence documentaire sur l’Europe, l’action de ce groupe de travail a pour but de mieux valoriser la documentation sur l’Europe, d’encourager et de stimuler les recherches scientifiques sur les questions européennes.

Les trois axes du Pôle de référence documentaire sur l’Europe sont :

• Dresser un état des lieux et réaliser une cartographie pour harmoniser les pratiques documentaires
• Numériser les collections patrimoniales sur l’Europe
• Associer la recherche et s’ouvrir vers le grand public

Objectifs des axes :

Axe 1 : Etat des lieux, cartographie et harmonisation des pratiques documentaires en vue de :

• réaliser une carte et une charte documentaires de site spécialisées sur les questions européennes ;
• intégrer à la réflexion les missions des autres pôles européens reconnus (Bruxelles, Luxembourg, Florence entre autres) ;
• créer un portail web dédié au signalement de la documentation sur l’Europe à l’échelle du site alsacien. Ce portail doit aussi permettre l’accès à de la documentation en ligne et présenter l’actualité de la recherche sur les problématiques européennes.

Axe 2 : La numérisation, un socle de documentation patrimoniale sur l’Europe    pour :

• élaborer des corpus de documents patrimoniaux du site alsacien (textes, cartes, affiches,...) qui permettent de retracer l'évolution de l'Europe sous différents angles;
• créer une bibliothèque numérique patrimoniale européenne qui puisse avoir un rayonnement national (Gallica) et international (Europeana) ;
• élargir ce programme de numérisation aux grandes bibliothèques d’Europe grâce, notamment, à un partenariat avec la Bibliothèque nationale de France.

Axe 3 : Associer la recherche et s’ouvrir vers le grand public par

• La mise en place d’un comité scientifique composé de personnalités issues du monde universitaire, des institutions européennes et du milieu associatif. Ce comité serait, entre autres, chargé de valider les projets (méthodologie, corpus, contenu éditorialisé, etc.) ;
• Des accords de partenariat avec les grands centres de recherche européens (programmes de recherche, publications scientifiques, etc.) ;
• Des projets destinés à toucher un plus large public (sur le modèle du Centre virtuel de la connaissance sur l’Europe ou d’Archivum Rhenanum, par exemple).